Ségo Bashing

Des attaques et dénigrements systématiques par les proches des deux candidats de droite Nicolas Sarkozy et François Bayrou ;  des rumeurs  qu'on fait circuler  sur internet ou ailleurs ; un canular téléphonique soit disant sans arrière pensée... Le tout bien entendu relayé par des médias complaisants. A cela il faut ajouter l'utilisation des moyens de l'Etat, policiers ou  fiscaux, au service de cette entreprise de déstabilisation de la candidate socialiste. Aux Etats-Unis on appelle cela du "bashing" (harcèlement) en gros la vielle technique du "diffamez, diffamez il en restera toujours quelque chose".

Pendant ce temps, il est vrai, on ne parle pas de la proposition du candidat UMP de généraliser le CNE contre lequel des millions de français se sont mobilisés l'année dernière. Pendant ce temps on ne parle pas des attentes des français et de leur demande de plus de justice sociale qu'ils expriment de plus en plus fortement sur les marchés, lors des portes à portes, dans les débats...

Mais ces basses méthodes déjà employées par le passé ont rarement fait leurs preuves. Lors de la présidentielle de 1995, par exemple, l'entourage du candidat Balladur était très actif dans les basses oeuvres avec le résultat que l'on sait. Coïncidence sans doute parmi les principaux lieutenants d'Edouard Balladur on retrouvait un certain Nicolas S et un certain François B.

Sinon la campagne pour Ségolène Royal reste très active sur le terrain. Trois rendez vous supplémentaires dans l'agenda :

Samedi 3 février à Trappes à partir de 15h Hotel le Pavillon Bleu sur la N10 Première synthése départemental des débats participatif avec (entre autre) Pierre Moscovici,Jean-Paul Huchon, Catherine Tasca, Safia Otokoré, François Deligné et Françoise Descamps-Crosnier.

Mardi 6 février à Paris hall Carpentier bvd Massena metro Porte de Choisy à 19h grande réunion publique avec Ségolène Royal et Bertrand Delanoe.

Mercredi 7 février à 20h30 à Guyancourt villa Jean Monnet Rue Jean Monnet débat sur l'éducation avec Sylvie Faucheux, François Deligné et Roland Nadaus.